La littérature au Maroc vit une crise d’apoplexie après une culture coincée sur les mémoires des élèves et leurs parents. Une culture de la science tant une trajectoire magnifique pour un bon avenir pour leurs enfants. La science ou la littérature ? La question qui passe tel un « TGV » sur le cerveau d’un collégien de la 3ème année collège. Le gouvernail te donne une feuille de directive. La majorité des élèves choisissent la science. D’être scientifique. Malheureusement, il n y a pas cette démolition de la diversité de l’éducation au Maroc. De même tant qu’il n y a pas de une culture de lecture, tant qu’il n y a pas culture de démolition de diversité. Un professeur, un docteur, un ingénieur, un infirmier, un avocat, tous pour le bénéfice de la population et de la société. Un jour un seul thème va gérer le Maroc s’il va sur cette route sombre. Le Maroc a besoin des philosophes, des mathématiciens, des physiciens, des écrivains , des poètes. Le Maroc besoin de l’expression, de l’indentation même si les moyens sont insuffisants. Donc il faut gérer cette balance qui donne la manchette à la science au Maroc. Le problème de la littérature et le même de la lecture, les marocains ne lisent que les ouvrages de leurs programmes scolaires. On n’a pas cette culture de lecture. Alors tant il n y a pas de science, il n y a pas de littérature, se sont deux thèmes intégrés.
A.Semmid
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