Entendant les cris désespérés d’une fleur je m’incline vers l’intérieur, la vision d’horreur me traverse le corps sur le sol elle est en pleurs.
Réfractaire à l’idée d’être qu’un imaginaire elle se relève et comme une araignée elle tisse à sa manière le charme élémentaire de son caractère.
Sous l’écume de la prospérité elle court dans les champs de prunes et sourit à la vie contemplant la flamboyante nature de sa commune.
Elle n’attend pas que son heure sonne alors tu peux faire demi-tour saleté d’oiseau de malheur tu n’auras jamais la beauté de son honneur.
Sous la bienveillance de ses pères, elle aspire au respect mutuel de ses congénères s’octroyant la sainte mère grâce à la force de ses prières.
Elle et moi ne faisons qu’une, traversant ensemble les dunes de notre infortune, nous marcherons libres bercées par les illusions de la lune.
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©Lucie Guittard – 14/03/2019
Beaucoup d’émotion dans votre beau texte au plaisir Lucie
Bonsoir Lucie
Très heureuse de vous retrouver.
Merci pour ce beau poème contant les émotions que nous traversons,
et nous conduisant à la liberté d’avancer…
Merci Lucie
Amitié
Chantal
un texte rempli de l’émotion humaine, de ses questions
bravos Lucie
Ol