C’est recenser ses idées
Les inclurent aux métaphores
Rigolant d’elles-mêmes sur l’épiderme…
De textes incrédules de ses auteurs.
C’est aussi la liberté totale d’éventer
Nos sueurs en les décrivant avec ardeur
Par nos doigts tributaires de nos pensées
Là où l’inspiration semble appartenir aux reliquats
D’anecdotes passées sous silence par faute d’auditoires
Plus pressés de rigoler sur le sort des parvenus
Qui avec leurs écoutes défaillantes n’auront jamais
Arpentés un savoir dédié aux seuls initiés de l’ombre.
De la clarté les enveloppant dans cette noirceur étincelante
Se reconnaîtront peut-être les novices de la plume tentant d’écrire
En sous pesant l’encre, sa signification en ce tout ineffable, conjoncturel
Qui en dépit de ces tares donnera l’envie de la prose à tous les néophytes
Rechignant d’emblée sur la rime et ses conventions plus ou moins arbitraires.
je vous comprends mieux ici, à vous lire, que si vous étiez en face de moi. La concentration est meilleur par la lecture et puis, entendre et écouter sont deux choses différente. comme vous avez raison, passé sous silence… De bien beau mots.