La passion couve,
La silhouette
De la dignité
Se confie en amour.
L’émotion
Communique son glamour,
Brille libre,
Comme une étoile elle éclaire.
Le temps bave la souffrance,
Entassées dans la mémoire
Humaine les haines
Dérangent les nobles âmes.
Zut ! Les ombres mafieuses
Perdent leurs temps,
Elles sèment le mal dans des sillons
Illusoires.
Les lèvres se plissent
Écrasent un sourire jaune,
La tristesse s’habille
De sa robe mystique.
La plume se rebelle,
L’encre griffonne
D’un siècle indécis
Et incompris, prie le coq de l’aube.
© Fattoum Abidi
15.12.2019.
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Bonjour chère amie ,c’est très beau et plus que vrai.
Espérons que le chant du coq incitera les prieurs à demander à celui qui est au ciel de nous préserver de tous les maux ! Merci, chère amie, pour ce partage digne d’éloges !