Je ne l’ai pas cru
Quand je vous ai vu nu.
Comme vous l’auriez voulue.
Vous auriez pu
Vous épargnez de la souillure;
Mais toi, tu es qu’une pourriture !
Va loin de moi, tu n’es pas le bienvenu.
Tu es chassé du jardin et tu ne reviendras plus.
Ouste, vous les impurs !
Vous partirez avec des chaussures
Mais vous n’allez pas revenir c’est sûr.
Même si vous êtes mûr,
Comme ce qui vous sépare de moi, un grand mur.
Je serais au-dessus
De vous et connu,
Mais vous me serez méconnu.
Après tout je serai avec vous comme une glue
Parce que vous m’avez reconnu,
Enfin, vous vous êtes souvenue.
Ce qui est advenue
Du monde au menu
De la guerre et des cohues,
Qui sont en attente et très abattu,
Ont été fait par vous, les durs !
N’aller pas mettre une confiance accrue
Sur le monde car ces idées sont parfois absurdes.
Bien que vous vivez des moments ardus
Auxquelles vous voulez une justice congrue;
Rappeler-vous que le bien gagnera à la fin comme convenu.
Moi qui vous ais moulus,
Qui vous ais entretenus,
Qui vous ais soutenus,
Qui vous ais fais gagner lorsque vous avez battu.
Vous qui êtes au dépourvu,
Je suis celui en qui vous avez eu
Tout ce qui vous a appartenue.
Venez ! Aller vers la rue
Mais pas vers l’avenue
Qui est vaste et remplie d’embouteillage qui hurle.
Cette rue vous mènera vers moi qui vous ais reçu.
Vous avez lu ce que j’ai du
Ecrire pour vous réconciliez à moi, espèce de tordus.
J’ai envie de vous délivrez de toute meurtrissure
Venez ici, cœur fragile ou dure.
Si vous avez cru, alors je ne suis pas déçu.
Je vous aime de tout mon cœur pur.
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Assez original effectivement mais je suis resté sur ma faim à la fin…
Merci pour ce partage Hassan et au plaisir de vous lire à nouveau
un texte original , des mots à l’état brut!