La misère du monde est bien là.
Sur terre, sur mer, elle nous tend les bras.
A sa vue souvent, nous tournons les yeux.
Ne pas la voir, nous rends moins malheureux.
Au détour d’un quartier ou d’une rue,
des yeux espèrent et des mains ne se tendent plus.
Ils font parti du décor, une peinture, une nature morte.
N’oubliez jamais, qu’elle pourrait s’inviter à votre porte.
Peut on changer ? Peut on grandir ?
Des mots toujours facile à écrire.
Serons nous meilleur ou bien pire ?
Si nous sommes obligé de choisir,
d’ouvrir les yeux, ou bien de les fermer.
Choisir d’aider, choisir d’ignorer,
voici le dilemme pour demain,
et pourtant, nous n’aurions qu’à tendre la main.
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La misère du monde est bien là. Absolument, et ça ne s’arrange pas.