La mer – Michel Rueher

La Mer

Le matin à cinq heures 
La mer effleure 
Les corps encore enlacés 
Des amants épuisés 

Quand le soleil décline 
La mer câline 
Ces enfants sans toits 
Que personne ne voit 

Les jours d’orage
La mer sauvage
Fascine les cœurs délaissés 

Perdus dans ses flots déchaînés

En hiver
La mer
Sous des vagues profondes 
Cache son âme vagabonde 

Nombre de Vues:

19 vues