La méditation de la philosophie
La méditation de la philosophie se joint au temps maussade,
La raison est soucieuse et nerveuse, la joie quitte l’estrade
Car les jeunes se suicident, ils meurent de faim qui avale leur vie
Ils ne trouvent pas du travail et la mélodie est triste,
Le corbeau a monté sur le toit il a voulu mettre
Un torchon noir au drapeau rouge qui refuse la compagnie noire,
La colombe de la paix a dressé une stratégie pour une vie digne,
Nos jeunes sont nos trésors et nos futurs leur embauche s’impose.
La méditation de la philosophie se frotte les mains,
Car le temps est triste et elle se trouve bloquée devant un amer destin qui cherche un heureux chemin où la vie sera en bonne situation le loup attaque l’agneau et la bombe saute en cerceau,
Elle tombe sur la tête des démons qui cherchent à nuire aux sages gens qui veulent nourrir leurs pauvres enfants non scolarisés.
Ma chatte laisse couler ses larmes devant le cadavre d’une victime,
Innocente qui cherche a stabiliser la sécurité, les enfants orphelins,
Pleurent.
Un brave soldat refuse de détruire les institutions du peuple.
Il perd la vie à cause de sa lutte contre les intrus,
La philosophie trouve que sa responsabilité et de méditer,
Afin de trancher pour une meilleure vie délaissée sans abris,
La faim est un être dur contre les corrompus, il veut la vie,
Prier et attendre le temps passer c’est gave on doit réagir vite
La dignité et la liberté des jeunes et des peuples sont urgentes.
On doit penser et donner aux autres nos attentions et nos aides
Et chacun depuis sa position et depuis ses compétences.
© Fattoum Abidi 22.1.2016.
Merci, Fattoum, pour la mise en évidence de ce constat amer. Tirer la sonnette d’alarme pour faire ce qu’il y a lieu de faire et pour que, beaucoup, ne viennent pas dire après la catastrophe :”on ne savait pas” ! Maintenant, ils savent. Merci encore, chère amie !