C’est une vipère, un parasite, un poison
Une vipère qui refuse de mourir
Un parasite qui persiste sans aucune raison.
Un poison qu’on ne peut pas détruire.
Les remarques blessantes;
La revanche jamais rassasiée
Les attaques incessantes
Rien ne satisfait la jalousie insensée.
Elle se nourrit se gave, s’engorge, s’enivre
De mille pensées de rébellion
Simplement pour survivre
Elle se délecte d’animosité avec passion.
Elle puise sa force dans ce puits infini
De doutes, de méchanceté, de rancoeur
Et elle attend le moment précis
Pour frapper droit au coeur.
Si souvent la jalousie se nourrit de pensées
Mal fondées sans preuve tangible
Elle aime avec délice affronter
Les ennemis imaginaires indestructibles.
Elle rit du malheur de ses adversaires
Et elle crie sa haine sans restreinte et sans pudeur
Elle est prête pour la guerre
Et explose sa rancoeur.
Elle blesse sans honte et sans pitié
Elle provoque les disputes et les séparations,
Mais elle reste fixée
Sur ces âmes à l’abandon.
Elle a envouté ces êtres égarés
Sur les chemins du destin
Pour ne plus s’en séparer
Elle les a conquis jusqu’à la fin.
Un métaphore qui fait le tour presque complet de la question sur le plan du sentiment amoureux… mais, qui que l’on soit, on jalouse tant de choses chez tant de gens ici-bas comme le rappelle Loup que les couvée et lignée de cette vipérine ennemie ne sont pas prêtes de s’éteindre.
Voici un florilège de noms gratifiant une maladie qui à priori orne les sens abusés de la Femme.
Pour l’ homme c’est matériellement qu’il est atteint par le voisin qui a plus grosse voiture, une moto plus récente, et toutes possessions que son ego ne peut obtenir.
C’est faire trop d’honneur à cette ennemi redoutable.