La cavalière
La jeune femme en fleur est jolie comme un cœur
Elle n’éprouve nulle peur et met une telle ardeur,
A chevaucher au vent sur son bel alezan…
Son amour le plus grand s’appelle Caliban.
Sa passion des chevaux la pousse vers le haut
Au trot ou au galop chaque jour il lui faut
Monter et entrainer galoper puis panser
Ses chevaux tant aimés qui font toute sa fierté.
Son assiette est parfaite, la course est une fête
Jamais rien ne l’arrête elle fonce bille en tête,
Et son allure royale sur son si beau cheval
Devient comme un signal on l’attend en finale.
On peut voir sur son front cette concentration
Qui dénote la passion de la belle Manon,
Juchée sur Caliban qu’elle flatte doucement
Sa main gantée de blanc rassure l’alezan.
Du catogan si blond à sa veste à festons
Tout en elle se fond dans les ors et marrons,
Son visage sérieux laisse voir dans ses yeux
Ce bonheur radieux, chevaucher sous les cieux.
Régina Augusto Auteure.
Texte protégé.
joli texte
Sa nous réprésente bien , nous les amoureux de chevaux
Bravo régina, j’aime ce beau poème qui me rappelle tant de souvenir équestre. Merci