Ce jour là
Naquit une étoile divine,
Son cœur battait de tendresse fine,
Son corps vibrait d’amour,
Sa plume combattit les faux glamours
De là-bas.
Près de l’étoile lueur
Fut la tristesse, cherchant sa flamme,
L’âme fut fortement
Bousculée part un vent féroce.
La censure bouda à la une,
Et le frisson rebelle laissa couler sa larme fidèle.
Hier des vœux se bousculaient grandement
Sur le mur de l’âme divine,
Ce jour là les souhaits se soustraient discrètement,
Car l’amie est piratée, on cherchait plus à lui souhaiter,
Des vœux leurs corps sont suspendus,
Sur la corde de l’oubli ils se balançaient timidement.
Hier les vœux arrivaient par milliers
Et ce jour ils viennent rarement.
Ah ! La vérité porte sa robe capsule,
Dérobée dans les sentiers battus
La silhouette observa son tunnel lumière,
Et l’espoir du meilleur fut lueur discrète.
Ce jour est née une fée mystique,
Son douar est attaqué de l’injustice convoitise.
Certaines vues suivaient les étoiles clignotantes,
Puis elles retournaient leurs têtes
Indifférentes, et ingrates,
La raison perdit sa direction.
Par oppression arbitraire
La larme fut une douleur
Solennelle et profonde.
La mémoire a encaissé
Des souffrances logeuses,
Et les colocataires furent des songes frustrés.
© Fattoum Abidi – 16.1.2018
Bonjour mon ami Jean – Marie merci de votre délicate et sensible lecture, agréable journée
Mes sincères amitiés
Fattoum.
Très joli poème monolythique !