Jonathan
L’horloge du temps
S’est arrêtée pour Jonathan.
Que de tristesse, que de chagrin…
Il ne verra plus le matin…
Dans son fauteuil roulant
Il aimait si fort la vie ;
Ce n’était qu’un enfant,
Il avait droit au sursis.
On a pleuré sans pudeur
Son envol vers l’infini
Et, tout au fond de nos cœurs,
Ont coulé des larmes de pluie.
L’horloge du temps
S’est arrêtée pour Jonathan
Quelle que soit notre vie,
Qu’à jamais on ne l’oublie…
***
© Maryse Le Lay-Jézégabel Fauconier
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Il était l’ami de ma fille handicapée il voulait croire au bonheur … il voulait croire en la vie … mais voilà … il est parti…
Tristesse que ce poème hommage, tristesse dans cette lecture et ne pas trouver les mots qu’il faut. La vie est parfois rude, dure et injuste envers la souffrance des enfants et la maladie ou les accidents de la vie. Merci pour ce partage.
Merci pour le partage, il continue à grandir dans les balcons du ciel. c’est un ange.
Vos mots l’ont rendus éternel. Bravo et merci pour ce partage…
La mort d’un enfant est toujours révoltante. Que de larmes versées avec poésie. Bel hommage rendu.