| Les profondeurs par la sirène captivent File dans le courant le radeau submergé Au loin bien loin déjà rapetisse la rive Vient le tourbillon des tourments passionnés C’est la fête ce soir c’est la soirée du siècle Toutes sont arrivées avec leurs amoureux Un couple que voilà explose dans ma tête Celui qui n’est pas moi ils sont là tous les deux Faut-il que je supporte son sourire et son rire Et ce qu’elle chuchote en lui frôlant le cou Je suffoque je vacille lorsque je l’entends dire Tous ces mots que sa voix n’a jamais dits du tout A son insu surement ses gestes me suggèrent Des lendemains d’espoir qu’elle feint d’ignorer Et je prie en silence que des mots me libèrent Ou que meure cette vie qui périt d’amitié Enivrante flamme dont fut banni le nom Orage de frissons si intense désir L’hiver s’est installé le ciel est moribond Aux illusions mortelles il n’est nul avenir
© Val Reval – 18/03/2018 |
Vraiment très beau Val.
dans la tristesse et la désillusion, j’ai cherché une touche d’espoir…
Merci Val pour ce partage
toute mon amitié
Bisous
Chantal
profondeur des tourments
l’espérance se doit d’exister même au tréfonds de la morosité tel un rai au crépuscule
belle écriture
bise
Oliver
Bonjour Val très beau et touchant partage qui finit sur des notes négatives:
Ou que meure cette vie qui périt d’amitié
Enivrante flamme dont fut banni le nom
Orage de frissons si intense désir
L’hiver s’est installé le ciel est moribond
Aux illusions mortelles il n’est nul avenir
Val on doit positiver pour qu’on puisse avancer
Mes amitiés sincères
excellente journée
Fattoum.