C amille a poussé la porte de son atelier, sans se douter que là serait le début de la “Porte de l’Enfer ” pour elle un jour,
A uguste sera son Dieu Romain sa “Cathédrale ” toujours debout, elle sera subjuguée par le “Baiser ” de cet “Age mur ” tout par amour,
M ême si l’élève a dépassé le Maître, elle restera à ses yeux ” La femme accroupie ” ou sa belle de jour,
I mmobile, distant, indifférent, Rodin dans le ” Penseur ” ignorera sa ” Danaïde ” éprise jusqu’à
l” Aurore ” dès le premier jour,
L oin de chercher ” La fortune ” , elle aspirait juste à un peu de compassion à ses côtés et ce fût sans retour,
L iée à lui, prisonnière ” L’implorante ” jusqu’à ” L’abandon” de jour en jour,
E mportée telle ” La valse ” Camille sera enfermée à vie dans la folie sans retour.
( pour rappel : sculptures citées de Camille Claudel : La valse, l’âge mur, Femme accroupie, l’ Abandon, l, Aurore, l’ Implorante , la Fortune. )
©Lise Beverly
Lise Beverly, grand merci pour cet hommage à Camille Claudel qui a eu un si grand talent et une si triste vie. Amicalement, Simone.
Bonsoir Laurent, oui, je suis une fan de Camille, elle méritait d’être connue car elle avait de la valeur et du courage..Amicalement poétiquement.
Bien bel hommage et triste fin pour cette grande artiste