Encombrés de ronces, les chemins de la vie
S’étaient ouverts pour nous, ensanglantant nos corps,
Et la douleur du coeur étouffait tous nos cris,
Nos âmes éperdues ne trouvaient plus de port.
Engendré par l’amour, l’espoir a reparu,
La saveur de la vie emplissait nos bouches,
Nous goutions sans fin aux plaisirs défendus,
Amoureux, heureux, allongés sur la couche.
Nos coeurs réanimés traçaient nos destinées,
Echafaudant l’avenir, tu semblais mieux,
Puis Maîtres absolus, les soucis arrivés,
Les embûches à nouveau nous ouvraient les yeux.
Pourtant, souviens-toi, dans tes pires tourments,
Ces chemins épineux tu les as effacés !
Et mon destin fût simple il n’y a qu’un an,
Et ton amour aidant a fait fuir le passé.
Aujourd’hui, rien ne peut me faire abandonner,
Ni les pierres, ni les ronces, ni le ciel noir,
L’homme qu’un jour en voyage j’ai rencontré,
A qui je dois beaucoup et aime pour l’espoir.
Ce que tu viens d’écrire, c’est une belle définition de l’amour et ça dans un très beau texte. J’aime beaucoup!
Ne jamais abandonner, ne jamais s’abandonner. Tel est notre destin, tel est notre chemin. Merci pour votre partage. Bonne journée.
Hubert-Tadéo.
Bravo Simone j’ai adoré ma lecture très beau poème
Agréable journée
Mes amitiés
Fattoum.