HALER LA CHALEUR DE JUIN AUX JOINTS D’UNE PAROLE !
D’entre-nuages de chaux : soleil en doux rais
rend un chaud visage à l’entre où saoul sage veille
en mage amadoué par merveille à tirer
plein éveil de dire page où rien ne se paye
Que pâlisse puis s’efface trouée d’azur
ici sans malice luisent – corps à sa trace :
augures d’Alices appuyant son futur !
Que ne se plissent leurs allures s’il perd face !
Intelligence aux parfums sentis en couleurs
sans fin pour la gens qui s’attire à la lumière !
D’enfer n’est l’essence halée affinant belle heure
si guerre d’élégance ne salit ses airs
Et si venait la pluie…Dissoudrait-elle tout
aux vannes pliant à moudre belle présence ?
Vas ! Ne devine au ciel ce qui glisse si doux
au vent qui voue l’ami à adouber ta « science » !
Et à moins de n’y entendre sonner que nuit
pour aux mains de l’ennui l’assommer ou la pendre
il n’est Homme qui dénie – si tendre pour lui :
l’amie qui l’appuie sans sommer de s’en éprendre !
Fabriquer ô La musique tant embrassée :
mots en briques dans le brouhaha du trafic –
que même bris de fric n’y bruissent à brasser
en tel abri des prix qui brisent son éthique !
Peinture de la japonaise SYUKA
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