Pour un lopin de terre,
Parfois une frontière,
Quelques terres pétrolifères
On se déclare la guerre
Au nom d’un quelconque Dieu tout-puissant
Tu mets le pays à feu et à sang
Tu arraches les enfants à leur mère
Pour les envoyer droit au cimetière…
Qu’importe les vies brisées
Tu ignores l’humanité
Pourvoyeur de misère, de désolation
Tu laisses derrière toi que dévastation !
La guerre finie
Vite on reconstruit
Routes et voies ferrées
On se partage les marchés…
Mais toi qui a perdu des êtres chères
Il te reste les fleurs pour le cimetière
Ton cœur brisé, tes yeux pour pleurer
Et tes blessures à cicatriser.
Messieurs les grands de ce monde
Courage, allez sous les bombes !
Pour la patrie,
Donnez vos vies
De vos choix vous serez les acteurs
Fiers de mourir au champs d’honneur !
©2017 –Harmonia Messidor
Bravos, souvent j’ai pensé comme dans ta dernière tirade..
Mais comme Tout général, couard est leur habit
il est si facile d’envoyer les brebis dévêtir les champs d’autrui…..
merci pour cet écrit
Ol