Ce frisson frileux
S’alimente d’un vent furieux,
Vient heurter un air doux,
Le temps devient fou.
La tempête a renversé
Le corps de la silhouette de la liberté,
La chouette a crié dignité,
Puis un silence a posé dans la nuitée.
Un songe vient griffonner,
Les mots se sont défilés,
Les syllabes se sont confirmées,
Et la foule des maux dénonce la fatigue infligée.
Ce frisson frileux
Songe aux hiboux,
Que la tempête a heurtés,
Leurs becs pieux sont choqués.
Leurs nids sont dévastés
Par l’inondation de la pluie,
Leurs petits cherchaient une patrie,
Où la prairie affectueuse a accepté de les adopter.
© Fattoum Abidi 17.1.2018.
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Les maux de la tempête sont durs!
De l’inquiétude à travers ces images qui font peur!
Un texte fort qui nous restitue bellement les visions de cette tempête!
Merci Fattoum.
Amitiés.