Fourmis vont doucement
Amour épaule leur fol acharnement
Toute la terre bénit la besogne noble,
Tortue va doucement vers la fin utile.
Où sont passées les silhouettes de la patience ?
Un ange observe la sagesse qui apparaissait
Morphée tisse le canevas d’un destin mélancolique,
Alice dessine sa prairie de rêves sans trêve.
Béatrice attend le retour de son amour brulant
Il est soldat dans une guerre absurde,
Douar reste perplexe devant la bavure du temps,
Il fait triste les nuages se protestent contre l’injustice.
Pauvres enfants sont tués dans une embuscade
Oh ! Que c’est triste dit la colombe
Et l’ange prie pour la paix dans le monde
Sourit l’espoir, l’âme est bouleversée.
Il tranquillise les esprits fragiles
Et la raison se porte bénévole pour un meilleur monde.
© Fattoum Abidi
17.6.2017.
Un texte surjectif bien écrit une belle plume un grand paisir à vous lire
Très belle écriture. Je suis heureux de partager avec vous cet amour des mots, qui plus est quand ils donnent un sens fort au texte qu’ils composent. Bravo !