Entre les bras de la rue
Souffrent les enfants de la prairie,
L’amour parental leur manque,
Les trames gémissantes s’indignent.
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Au milieu de la nuit
Se réveille l’enfant de la rue
-Maman, maman où es-tu ?
Le loup attaque mon lit.
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Les larmes des arbres nocturnes
Laissent couler leur sympathie,
Le silence couve de souffrance,
L’amour marque son absence.
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La pauvreté a jeté dans l’abandon,
Des enfants du temps
Se fragilisent le moment,
Leur vie manque l’amour des parents.
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Qu’attendons-nous de nos futures
Générations ? Elles sont des parois
Aux méchants vents !!!
Ma plume ses mains n’essuient pas les pleurs.
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© Fattoum Abidi 5.9.2018.
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Encore une fois, Bravo mon amie Fattoum. Un poème de grande valeur, un appel au désespoir des gens malheureux d’Afrique et d’ailleurs. Des mots très touchants. Merci