Parfois, d’une mélancolie
mon coeur se froisse ,
comme les draps, après l’amour
de désirs assouvis ,
l’âme soupire.
Exilé, dans l’océan hostile
ma vie s’égrène
entre les joies et les peines
d’un pendule monotone .
Esseulé, comme un hêtre
sur une colline, qui
n’a que ciel pour horizon.
Comme les voiles, qui
cherchent le vent.,
le marin sans boussole,
dans la nuit de mes jours
entre ciel et terre
je cherche les étoiles.
©Luciano – Lucien Scheer – 01/05/2018
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Magnifique mots touchant mais l’espoir reste est demeure.
Si bien dit…
Amitiés/
Anne.
Waw super beau et touchant poème bravo Lucien, j’ai adoré la dernière strophe qui se termine par l’espoir
Agréable journée et un brin de muguet,
Mes amitiés
Fattoum.