Peu discernant suicidaire qui ouvre sans épier la lucarne
Tel un poisson visqueux d’un soubresaut se volatilise
Laissant la main déçue de ne l’avoir qu’effleuré
Embrasse-moi
Nos secrets sont à risque
Perpétuité d’amour plein le cœur
Absurde destinée d’une fleur sauvage
Je me méfie de toi Mata Hari comme de mon ombre divergente
Embrasse-moi Veux-tu
Tout ce temps livré à l’expectative
A patienter à contre-courant une utopique guérison
Ma fièvre est un congre muet dans des grottes obscures
Son silence est un leurre
De mourir je ne crains qu’une chose
N’avoir jamais connu ton baiser.
© 2017 * Val Reval
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Surprenant poème espérant les baisers
dans cette demande pressante… Embrasse-moi !
j’aime beaucoup
Merci Val
Chantal
Mots bien réel dans des baisers fictifs mais au combien espéré..
J’aime beaucoup…
Anne
déconcertant, et en même temps, fascinant
une fois que que l’on s’abitue au voyage de tes limbes
merci Val
bise