Privée de ses sens, Elle restera figée immobile dans cette foule, face aux passants en décadence.
Le vent la bouscule de mille et une façons, Elle est toujours debout, regardant fixement l’horizon.
La souffrance appelle sa déchéance, Elle garde ses pieds à terre, prise d’un sursaut d’assurance.
L’empathie étant en prison, son ennemie jurée l’égoïsme l’assaille Elle, de fausses perceptions.
Son corps titubant par le froid mais, Elle ne bougera pas son esprit, lui est parti combattre l’effroi.
La haine la prenant dans ses bras, Elle restera puissante mal-gré son corps, qui lui ne luttera pas.
Son cœur piétiné dans les talus des sous bois, Elle ne s’effondra pas, il guérira sur encore une fois.
La force du mal s’éteindra pas lui dit le diable, Elle s’en moque puisqu’elle, n’est pas conçue comme ça.
La mort arrive et vient lui couper le souffle, Elle ne se couchera pas car ,dans son monde Elle se camoufle
La monotonie aimerait l’escroquer, mais Elle n’est pas surprise par tant d’espiègleries, Elle est habituée.
La méchanceté se lambine et trémousse, mais Elle rigola à gorge déployée, devant l’impureté Elle glousse.
La tristesse acharnée vient l’imprégner, Elle n’est pas de cet avis, Elle se lève et de ce pas partira riposter
Elle n’est autre que la sainte Lueur d’Espoir, celle qui se bat corps et âme contre n’importe quels désespoirs
L’espoir est le remède aux maux illusoires, ne perdez jamais cette flamme qui vous conduira aux pouvoirs.
Super texte.J’aime.
Très joli texte poétique, agréable à lire
Où l’espoir règne en maître contre la tristesse
Merci Lucie
Amitiés
Chantal
(priver de ses sens) ?? ne serait-ce pas privée….?
jolie flamme laissée à notre lecture de ta jolie plume
Merci Lucie
Oliver