Droit dans la caméra – Banshee

Le feu comme l’eau 3… 2… 1…

L’enfant pleure devant les monstres qui entourent son lit. Un adulte le tire : une femme plantureuse qui porte des lunettes de soleil. Les têtes sont immondes de sang et l’enfant traîne seul. Il se retourne et rit.

Le soleil se lève sur le troupeau et les enfants marchent avec leur écuelle sur la tête ; les personnages rament dans le radeau (créer des personnages) et il porte une longue barbe qui voit les enfants courir torse nu : Viva la guerilla.

Il est à dos d’âne et l’enfant plume la robe qui se balance avec un haut noir et une voile ramant et jetant un filet dans le manège moulin. Ils ont tous les cheveux noirs et il sourit tandis que les mains s’agitent et que l’homme fume, ils se lèvent d’un seul homme dans la circulation du soir et le cheval se baigne dans un cadre noir où le catcheur se bat et hurle.

Une savonnette rose fait de la mousse dans la ville qui dort avec l’astronaute et l’avion de chasse comme il est à son bureau ou s’habille et pose le pied sur la lune. Un astre luit blanc-bleu et il touche un bouton qui fait réagir l’écran où la femme arrive rousse (camions et fûts baleine), il le ramène dans la navette où il peut jouer à la Playstation.

Ils font des autotamponeuses et tournent à l’infini en levant les bras et riant. Ils se fondent dans l’espace centrifugeuse amoureux comme des enfants. C’est dans cette atmosphère que se situe l’histoire de Lilly-Rose, une femme forte au caractère bien trempé, fan de Banshee Queen et de Lisbeth Salander.

Lilly-Rose tambourine dans le manège qui tourne vole sur la mer où la vague safari croise un temple bouddhiste et une la jeune Lilly-Rose devant le buffet. Le lait coule dans l’eau et she is lonely. Madame Pomme sur un cheval avec des torches en feu et un maillot de bain drapeau des Etats-Unis.

Madame Pomme sur la table allongée ou dans un lit. Lilly-Rose lui caresse les cheveux sur la berge où le château prend forme humaine et dans la forêt ils jouent de la guitare. Madame Pomme est à la batterie et la caméra tourne sur elle-même dans les arbres aux couleurs automnales. Ils ont branché le groupe électrogène à la forêt et Lilly-Rose spectatrice groupie des hommes qui jouent et l’eau changeante qui l’emporte.

Horacio fait changer les couleurs de formes et regarde droit dans la caméra. C’est un homme blond aux yeux azur et il porte un pull alors Lilly-Rose l’embrasse dans le cou et l’entoure de ses bras. Il apparaît dans le miroir alors Madame Pomme avec une brosse à cheveux et un smartphone lui gueule dessus et s’en va. Un garçon blond avec des fleurs des prés et un fauteuil de cuir : voilà Horacio. La chaise tombe devant lui et un nouveau personnage inconnu au bataillon perturbe la scène.

Madame Pomme a décidé de jouer au ballon dans la mare. Un hippopotame chante avec un chapeau sur la tête. Madame Pomme porte un bonnet de bain.

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4 Commentaires
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Invité
9 novembre 2019 12 h 39 min

Quelle imagination ! Drôle de film déjanté… Une de vos facettes … Mais il en faut ! Merci. Bonne journée, Simone.

O Delloly
Membre
8 novembre 2019 16 h 25 min

Prose à lire tel journal d minutes de vie des limbes en déluré ou pas
Merci