Toi, la compagne de mes nuits,
toi, inlassablement qui me souris,
je sens tes bras autour de mon corps,
et ce souffle, petite mort,
sombre et glacée, même au fond de mes draps,
et malgré l’ amour que j’ éprouve pour toi,
je ne pourrais réchauffer ce cœur de pierre,
et assouvir toutes tes prières,
mais en moi, le feu brûle,
et attise ce rapprochement incrédule,
complaisance mélancolique,
attirance maléfique,
éveillée reste mon âme,
par tes charmes, ensorcelée,
coulent mes larmes,
et mon cœur se met à saigner..
pourtant, je connais ton amour,
et tous tes contours,
comme une caresse, détresse,
fuyante et au toujours,
toi, ma compagne, mon amie,
qui sans toi, je survis,
m’ emporterais-tu à l’ oubli?
où à cet état d’ infini ?
j aime te sentir, diablesse,
de mes nuits, tu en es l’ ivresse,
obsession ! tu m’ as possédée, vidée,
possession de mes plus secrètes vérités…..
que même une nuit étoilée, ne saurait apaiser,
cette solitude, ces insomnies, qui m’ ont fait te dévoiler….
m’ ont emmenée dans ce gouffre où tu n’ es plus que mon seul et unique amour.
©2016 Ingrid B
Très beau poème chantant l’amour, la passion…
Merci Ingrid, pour ce moment criant de vérité !
Ce fut un plaisir
Chantal
Ingrid, ton poème m’avaité échappé
il est très beau, profond d’un ressenti criant
je l’imagine chanté même.
Oui, il m’a plu !
Merci pour l’avoir déposé sur ce merveilleux site
bise
Oliver
Vos vers sont magnifiques et brûlants d’amour… pourquoi sont ils si tristes ? vous avez tant de talent et de cœur, le monde vous appartient ! Je vous lis avec beaucoup de plaisir.