” Doit-on encore penser à vivre même lorsque absents sont nos sourires, morts sont nos désirs et effacés sont tous nos souvenirs où justement doit-on simplement survivre.”
D’un pas décidé je me lève de mon lit forcée de constater qu’ici tout est mort de consternation ne restant que des conflits vivants dans mon esprit semant le chaos depuis minuit.
Passent des heures à entendre hurler, à attendre la fin de la représentation de la laideur voulant m’empoisonner de sa potion d’horreur tant je suis stoïque dans la douleur.
Deux secondes d’inattention et me voilà échappée, courant vers la lucidité je remets mon cerveau sur activé et pars à la reconquête de mon identité armée de combativité.
” Oh non Roses de mon envie qui faites la pluie et le beau temps sur mon empire, je ne vous laisserai jamais faner aux risques de mourir pour vous en femme martyre.“
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je viens de lire ton écrit, Lucie ! il est assez impressionnant
Julie l’a bien ressenti de mon avis…. et ce côté lumière frémit
comme quoi, rappelles toi, je te conseillais de le faire toujours
permettant au côté sombre de vivre mais aussi à l’espérance
Merci
Bise
Oliver
Quelle profondeur émotionnelle.. il pourrait etre morose votre texte
Mais en fait il est plein de vie. C est comme quelque part un miroir
De pensées . J aime beaucoup. Il m aide en ce jour gris
Merci Lucie.
Julie