Ce coup d’œil subreptice glissant à la dérobée
M’aurais-tu souffert trop longtemps
Imprégnée du parfum des remords d’hier
Se ravive la plaie de l’insensé vaincu
Goûteuse effrénée des espaces
Passante silencieuse intrépide et inquiète
De vivre le mirage le danger de l’esquive
L’œil fiévreux perçant l’écorce assombrie
Fuis anguille souveraine l’affolante lueur
Ombre filante éprise sans aveu fuis
Du rêve viendra le temps du souvenir
Nos feuilles blanches pendent perdues
Tous mes cris de toi se sont tus.
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