En la douce musique où s’entend le silence
De son pas délicat elle dessine la danse
Par un divin ballet fait de grâce et de feu
Etourdissant vertige céleste harmonie bleue
L’esprit ensorcelé sous le charme magique
Les gestes langoureux de grâce fantastique
Elle envoûte la vue et nourrit tous les sens
De bonté merveilleuse et de munificence
Pour un mot je céderais ô fièvre subreptice
Émeraudes rubis et tout l’or qui existe
Elle prend le cœur et l’âme sans s’en apercevoir
Rêvant d’elle chaque jour je reviens chaque soir.
© Val Reval – 13/11/2017
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Qu’elle est belle cette danseuse !
Vos mots nous donnent envie de la revoir, encore…
Merci Val pour ce joli poème.
Bises
Chantal