Poussières de maux, tristesse
je sens ton souffle
j’entends ton appel dans mes veines
je t’ouvre mes bras encore
pour une nuit sans fin, pour des pensées
qui s’envolent vers ton monde où je ne suis pas.
Mes larmes se répandent à la pelle
mais bon Dieu, entendras-tu mon appel ?
Éros et son archet, ont jeté sa destinée sur moi
attendri par mes soupirs et mon cœur meurtri
il s’est approché un soir où je naviguais entre deux eaux
il m’a touchée de sa flèche
puis……. Cet homme a déboulé dans mes pensées
désirs charnels d’une passion viscérale
d’une gourmandise érotique.
Mes envies se fragmentent et coulent comme un caramel tendre
sur le sel de sa peau.
Je me réveille, ce n’était qu’une illusion.
Pourtant je t’ai goûté du bout de ma langue
et mon corps se souvient de … d’un rêve.
Toi…
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Ce ”CAILLOUX”” est une pierre portée à l’édifice dédié à la beauté de la féminité sous tous ses aspects….comment ne pas tomber en admiration devant la simplicité et le naturel de tels écrits….nous ne savons plus regarder, ni apprécier sans vouloir posséder…la beauté n’appartient à personne…elle est…encore faut il être capable de l’apprécier.
Un beau texte, sous la forme d’un flot de tendresse à fleur de peau!
Bonjour,
Que c’est osé..j’en rosi… passé cet instant fugace de l’étonnement j’en viens à celui de la stupéfaction.(rires….of course)
C’est émouvant et …gourmand (:> merci de nous faire saliver si joliment Anne.
Merci Anne pour ce magnifique poème, j’ai adoré ma lecture belle journée
mes amitiés
Fattoum.
Impressionnante ta plume Anne
de fil en fil, de poème en poème,
de moment poétique en moment poétique,ta plume devient plus belle, plus fine, plus profonde
Que se passe-t-il en les limbes ; un univers qui nous fascine
merci beaucoup, j’ai adoré, sublime instant
Oliver
O, c’est d’une splendeur, cet écrit me réjouit j’eus aimé le composer
Anne, cette plume est merveilleuse, proche de l’érotisme à fondre belle âme
superbe
MD