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Ton enfance prend fin au pied d’une âme ardente
Mordue par les saisons et les rêves embrasés,
L’espoir guérit les maux de tes jeunes printemps
Où se meurt l’attente d’une étoile naissante.
Si tu presses le pas dans ta marche glorieuse,
Vers les sommets abrupts des royaumes perdus,
Souviens-toi des parcours conduisant nulle part
Dans les déserts troublés semés de rudes épreuves.
Tel un cheval piaffant devant les portes closes,
Ta mémoire se cherche un sentier lumineux,
Dans les replis du temps quand sommeille l’oubli,
Où tu ressentiras les tendres souvenances,
Sur la courbe de l’âge où la raison culmine,
Et que le sentiment n’est plus maitre des cieux,
La portée du regard caresse l’horizon,
Où flamboient les couleurs de tes pensées sereines.
©Adrien Benoir
bel écrit Adrien “..souviens-toi des parcours..;”… tout est murmuré
merci à Vous
S
Un bel et bon texte, merci de nous le faire partager.
Merci Adrien très beau partage,
Agréable journée
Mes amitiés
Fattoum.