Lorsque le soleil se couche ici, à l’horizon,
Je le retiens de la main, jusqu’au matin,
Dans la paume, il me chante des chansons,
Des berceuses jaunes perdues des anciens.
Lorsque j’ouvre son écrin, il s’envole, au matin,
Je garde ses comptines gravées dans la main,
Et lorsque les nuages le cache, son reflet brille dans mon poing,
Mais à cet endroit, il revient toujours, en Trébeurden.
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Je le retiens dece la main jusqu’au matin. Très belle image, joli tableau. Merci de ce partage.