Conneries, âneries et des gens qui rient
On était seuls, désarmés, ruinés et nus
Tantôt le ciel nous lave tantôt des êtres pourris
Rêvant d’un honneur et d’un bonheur perdus
Allumons le feu des bougies sur nos débris
Comme un soleil estival caressant ces tristes nues
Tel qu’une étoile hivernale illuminant nos cadavres pris
Usés, fatigués, épuisés et répandus dans les rues
Évitons ces puérils malheurs qu’ils nous ont appris
Les maux de nos écoles et d’autres peurs bien drues
Soyons le sang qui rend hommage aux bons esprits
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Bravo Mohamed très beau et émouvant texte.
agréable journée
Mes amitiés
Fattoum.