Je n’écris que ce que je peux écrire
Ce qui me fait sourire
Ce que mon cœur respire
Ce que mon fond m’inspire
Tels délires ou tels soupirs
Mais je n’peux offrir c’qui fait souffrir
Quand on a de l’empathie
La douleur d’autrui est ressentie
On écrit sitôt un vers ouistiti
Jusqu’à voir cette douleur partie
Et cette être à nouveau blotti
Dans joie bâtie écoutant tutti
Je ne décris que ce que j’ai pu vivre
Ou ce qui le monde de l’injustice le délivre
Ou ce qui débarrasse les cœurs des givres
Ou ce qui évidemment tout cœur l’enivre
Et j’aimerai un jour les lire dans mes livres
Je ne décris pas la science-fiction
Mais je décris la science de l’affection
La science à laquelle cœur fait addiction
La science qui met l’intolérance en interdiction
La science qui combat la haine et son infection
C’est la science que je décris avec conviction