CITE D’ORDe t’aimer mon corps frissonne
Pupilles dilatées pour mieux t’observer
Dans la lumière tamisée, je m’abandonne
Aux émotions partagées de nos étreintes électrisées
Les alentours sont fantômes, vision restreinte à ton ombre, suavement m’emporte
Dans le bouillonnement de tes bras qui me réconfortent De béatitude nos iris éblouissent
Chaque brin de notre peau tels des lucioles
Guérissant nos maux qui par magie s’étiolent
Voile lumineux d’où les blessures s’envolent et périssent | Quand de nos silences émane la plénitude
De la satisfaction d’un présent que l’on pressent précieux
Endiguer les trop nombreux moments de solitude
Valse effrénée des tourbillons de sentiments De pas hésitants en certitude
Que danser à deux
Est un trésor de chaque instant
Pour peu qu’on se laisse guider
Par l’autre de temps en temps Ma clepsydre se remplit
D‘un monde que je croyais englouti
Au loin j’aperçois ta cité d’or Confiante j’avance, mes peurs s’évaporent Ta présence suffit A parer d’ineffables joyaux ma vie , © Nadège Gorek – 2017 |
Une cité idéale au pays de nulle part?
Les deux valent ce rêve!
Merci pour ce voyage Poétesse!
Adrien.
C’est très beau, délicieux
toujours votre aisance poétique
Merci
Oliver
Wellcome to Word Paradise