En pleine campagne,
au crépuscule,
le soleil fatigué, montrait
encore sa face jaunâtre.Sur un épi isolé,
face au soleil,
un oiseau frêle
se posa dessus. Le ciel était rougeoyant,
un petit vent doux et chaud,
soufflait doucement,
en faisant frémir l’épi. La forme du volatile,
posé dessus,
se détachait avec harmonie,
face au soleil couchant. Assis dans le champ voisin,
je contemplai la scène,
de ce rossignol égaré,
posé sur cet épi. Soudain, alors que la nuit,
se préparait à tomber,
que l’astre du jour, s’apprêtait,
à faire place à dame la lune. | Un chant doux,
et mélodieux,
s’éleva et emplit,
de charme,les environs.Si frêle et fragile,
et une voix si pure,
qui donne un air de sérénité
à l’atmosphère ambiante. Pendant tout un temps,
je l’entendis chanter,
assis dans le champ voisin,
regardant s’étendre l’obscurité. Puis, au dernières lueurs.
Il prit son envol,
pour retrouver sa mie,
et ses rejetons. Maintenant, l’obscurité était complète.
je rentrai en ma demeure,
heureux d’avoir pu entendre,
chanter la nature. |
Bravo Eric entendre chanter la nature c’est superbe puis ça apaise, très beau et fin poème j’ai adoré ma lecture vive la nature en bonne santé.