CE MONDE INFINI…
Prendre le temps de s’arrêter,
De respirer, d’ouvrir les yeux,
Savourer l’eau qui désaltère
Ce bien Divin et si précieux.
Asseoir son cul sur une pierre
Tout en se posant la question,
La vie la mort, l’amour la guerre
Ces mots sont-ils en perdition ?…
Sauver ce monde méconnu
Qui nous apporte tant et tant.
Sauver ce moi, cet inconnu
Qui vit en moi à cœur battant.
La mer efface mon empreinte
Laissé sur le sable du temps,
Mais le vent comme une plainte
Me dit respire, prends ton temps.
J’ai tant appris, mais ne sais rien
De tout ce monde microscopique
Qui vit en moi que pour mon bien
Pour révéler mon corps quantique.
Si toute cause à son effet
C’est sur nos actes qu’elle agit
En nous donnant le vrai reflet
De la magie du corps/esprit.
Je reste encore un peu assis
Sur la pierre de mon destin
J’offre à mes yeux la galaxie
De ce monde infini, au mien…
Yvon
Au vieux Monsieur débordé je dis bravo ! quelle jeunesse dans votre poème. il m’a saisi car on ne peut choisir d’aimer ou de ne pas aimer. mais je suis heureuse de dire “j’aime”. Véronique