CASSANDRE EST LA MUSE QUI LIE SON ET SENS ! – Alain Minod

gielniewski Cassandre et le poème

CASSANDRE EST LA MUSE QUI LIE SON ET SENS !

 

Au brouhaha où s’impriment cendres du jour

Cassandre éprise des lèvres de leur silence

a repris sa science qui brûle mon séjour

où – pour tant de rêves s’éprendre – je me lance

 

Qu’à les ouïr je tente de les lui ravir

s’évanouit le tendre qui surgit aux veines

de celle qui luit à me faire tant gravir

la pente du désir qui enfouit ma peine

 

Cassandre en allée – tombent cendres en fraîcheur

halée où s’étendre à l’heure perlée de paroles

cale au comble d’Éole : merle du marcheur…

Et nos pas heurtés au monde ne hurlent rôle

 

On se dit poète pour que rythme la vie

avec la voix qui s’entête à rimer l’essence

des quêtes d’avenir dans un sens qui ravit

notre tête en devenir pour toute présence

 

(tableau de Gielniewski)

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1 Commentaire
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Doumenc
Invité
11 juin 2016 1 h 41 min

Désolé, pas compris le choc des mots…