Un morceau de camembert sur un concerto de Mozart, ça’ l fait pas ?
Oh que si…un délice. Malheureusement à 10h58, me manque le bordeaux rubis,
diamant des vins ? Divin nectar des amants? San doute et surtout depuis que je ne suis plus un sot
à champagne dans les soirées mondaines. ( en fait, j’ l’ ai jamais été ). La musique s’ achève
sur une clarinette mélancolique. Cette fin vient comme me couper le sifflet, et cette faim pour sa
part me voit couper délicatement le camembert. Je rends hommage à Monsieur portal pour son
interprétation de ce concerto, et que j’ ai ” connu “ou plutôt découvert en même temps que je découvrais YouTube.
Bref, dans ces conditions que dire de plus qu’ en ayant YouTube dans les oreilles et écrivant sur Plume de poète,
la journée ne peut être que belle…Le Net plus ultra quoi.