J’ai ranimé le bois d’orage
sur les lèvres éclatées
comme un morceau du jour
perdu dans le prolongement du rêve.
.
C’est déjà demain,
je ne ferai aucune peine
aux songes restés
à l’attache d’un bras de mer
et sur l’écume de la grève.
.
J’entends le silence venir du plus loin
de la vague turbulente de l’image.
©Barbara Auzou
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