Ô vent tourmenté de la vie,
Rasant le champ illuminé,
Des ces lys qui ne demandaient pas
D’être déracinés en été.
Vous le tueur, non le fermier
Soit le fou rempli de haine
Au courant mourant tas de fumier
Neuf ans… c’était encore une germe.
Vos mains bien imprégnées de sang
Plus jamais ne tiendront l’amour
À ma crainte, d’autres innocents
Ont fleuri aux œillets, loin du jour.
Que de la rose à la robe noyée
Émane un parfum qui vous hante
Et sa douce voix, de vie, chante
Jusque dans vos rêves pour les broyer.
Toi l’homme qui fait honte aux Landes
Va donc croupir l’endroit immérité
Tu seras plus qu’un numéro indicible
Par l’humanité qui veut te pendre.
© Aldrick LM.- 22/02/2018
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Bravo Aldrick beau et profond poème avec de belles images,
Mes amitiés
Fattoum.