Il avait comparé la poésie du coeur à une femme gracieuse
essayant, en fait, une contrainte du la métaphore
par la force persuasive du mot
parce qu’aucune poésie ne part du coeur
et il ne se compare à rien de connu
une tornade ne se forme jamais dans un verre d’eau
et n’a aucun degré de comparaison
pas
la poésie, le même, jaillit des profondeurs mystérieuses de l’esprit
comme un géant vortex de tendresse sur un axe vertical de ta pensée
ou comme un affrontement entre les fissures continentales du celui-ci
avec libération de flammes
laissant derrière tous les cadavres déchirés de l’alter-ego
quelque part, parmi les nuages sombres de l’inconscient, les yeux de cristal de la femme brillent
laissant libre cours à la métaphore:
une fleur dans les cheveux, deux gouttes de rosée dans les oreilles
le Triangle d’or du Bermudes tellement convoité de rivages de l’Atlantide
(identique au nom d’une femme!)
où disparaissent les plus beaux rêves de la nuit
.
et ainsi de leurs cendres, renaît toujours …la poésie
J’ai aimé lire votre joli texte. Merci !
Bonjour Contu bravo beau partage.
mes amitiés
Fattooum