Style Sonnet
Adieu l’enfant !
Mon âme c’est comme un château de cartes…
Un mauvais courant d’air et ma vie s’envole !
Mes larmes sont des pluies que nuls ne volent,
Mes drames ne sont pas sur des pancartes…
Mes tourments sont rouges-vifs écarlates,
Me consument autant qu’ils me désolent !
Mes rêves cauchemardesques caracolent !
Jusqu’au lent réveil qui me les écarte…
Mon cœur ébranlé palpite encore,
revivant les relents de ce décor ;
Souvenirs des foyers, de mon peu d’enfance…
À l’Infantilisme de mes six ans…
Adieu l’enfant ! bafoué par tant de sentences,
Victime de la vilenie des grands…
– © – 2018 – YJAL –
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