Assise à califourchon
Sur le bras du fauteuil
Qui trônait dans le salon
Auprès de son père
Adèle sage
Comme une image
Avec sa fidèle Mandy
Une poupée de chiffon
Qui ne l’a quittait jamais
S’émerveillait
Et s’échappait de la maison
Partant avec Peter et Wendy
Pour des aventures extraordinaires
Le soir à la veillée.
Elle écoutait son père
Lui narrer ces belles aventures
D’un ancien passé
Et, elle les revivait
Dans les rêves les plus fous
A minuit la chambre s’animait
Et, elle partait avec Clochette
La fée magicienne.
©IRIS 1950
Nombre de Vues:
18 vues
Ah ! Les enfants : leur innocence, leur insouciance leurs rêves. Ils doivent en faire une bonne réserve dans laquelle ils pourront puiser à l’âge de la responsabilité . Merci, pour ce partage !