Je vous désire tant !
Vous êtes si fort mais si doux,
Intensément bon,
Intensément succulent,
J’aime broyer du noir avec vous,
C’est nombreux que je vous apprécie,
Comme du feu en bouche je m’extasie,
Je ne crois pas ce qu’ils peuvent dire,
Médire sur votre corps charnel et si parfait,
Je ne pense qu’à vous surtout aux périodes festives,
Mais moi femme que je suis, je vous aime d’autant plus,
Je suis la maîtresse dont vous avez toujours rêvé,
Celle qui ne pense qu’à être possédée,
Laissez-moi vous goûter afin de me calmer,
Mes sens sont complètement perturbés : je suis à toi doux pêché.
© Copyright “Á toi doux pêché” Virginie Krahn (2018)
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La gourmandise n’est en rien péché. La goinfrerie si. Votre texte se déguste et donc est fait pour le gourmet autant que pour le gourmand… n’allons pas le gourmander !
Bravo