| Sorbier, alisier de printemps, tes fleurs blanches graciles, en grappes profuses, se courbent sous le poids de ta soie . Ta robe vaporeuse semée de boucles de ouate neigeuse irradie le ciel, inonde mon corps, mon âme enfiévrée encore assoiffée d’enfance et de fleurs boursouflées des larmes et des sourires de l’aube froissés, cadenassés dans ta prison de soie. ©Alix Lerman Henriquez |