À l’ombre des palmiers
Défilent mes souvenirs
Devant moi, les ramiers
Renoncent à partir
Grisés par ce temps doux
Les oiseaux chantent
Et deviennent un peu fous
Sur les palmes géantes
Oui, ils y ont trouvé
Le gîte et le couvert
Eux qui se sont sauvés
Des affres de l’enfer
Chants et roucoulements
De la part des mâles
Agrémentent pleinement
Les joutes amicales
Sous le bruit romantique
De l’eau murmurante
Une cour sympathique
Se déroule sans honte
La danse est exaltante
Et rondement menée
Les belles sont contentes
Et se laissent entraîner
Les chevaux hennissent
Pour être de la fête
Et les brebis caressent
Les agnelets qui tètent
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Un paysage que j’aime beaucoup car il est synonyme d’une évasion désuète et d’une nostalgie revendiquée. Bravo l’artiste…
C’est un beau souvenir que voilà de ce paysage ou spacieux jardin inondée par l’arborescence et la nature.
Très agréable tableau