Adieu, Madame Laderway ! Essadiq Benarreg
(Ce poème de 216 vers me plaît beaucoup. Il fait partie des dernières pages de mon roman “Sarah Laderway”. Chaque fois que je lis ce poème, moi-même son auteur je découvre quelque chose de nouveau. Le lecteur croit que la défunte Madame Laderway est morte des suites du syndrome de Guillain-Barré, mais en réalité il … Lire plus